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01 mai 2009
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ladjudeuse
Hey tu dors? *au fond du puit"
femme, hétérosexuelle, célibataire.

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39 ans
LocalisationMontpellier (France, dép. 34)

LYCéE JEAN MONNET   Vitrolles (1999-2003)
FACULTé DE LETTRES   Aix En Provence (2003-2005)
UNIVERSITé DE LETTRES   Montpellier
Qui d'autre de ce bahut ?
Divers
Né le : 29 juin 1984
Inscrit le : 07 août 2004 16:19:28
Ultramembre : non
Moyenne : 7,79/10 (100 votes)
aime
les gens ouverts et tolérants
faire des bulles, rêver, mes proches, faire la fête, boire (avec modération),
les expos, les concerts, les festivals, camper,
mes p'tites bêtes, échanger, créer, partager,
la musique, voyager
déteste
les haricots verts, les gens méchants
le vin rouge,
boire(sans modération)
les lumières éblouissantes,
l'odeur de pneu cramé sur l'autoroute en été
ma devise préférée
**faîtes ce que vous voulez, mais prenez votre pied**
la musique que j'aime
Punk, ska, metal, reggae, ragga, rock, pop..sons, voix...
les groupes que j'm écouter
Green day, nofx, pennywise, blur, air, asian dub foundation, eiffel, spook and the guay, les caméléons, deftones, machine head, soulfly, smashing pumpkins, ska-p, kanjaroc,les négresses vertes, mano solo, la mano negra...oui je c, c tout mélangé....
ses amis
absinthe
bastoss_dans_les_yeucou
bisounourse
lafredreuse

mardi 2 novembre 2004:

je rentre tout juste du zikomm festival 2004...édition qui s'est déroulée à Berlin...5 jours de délires en tous genres.....musiques, esprits, convivialité, plaisir, échanges, chaleur humaine...

Je remercie d'ailleurs tous les gens présents: artistes, organisateurs et festivaliers....j'espère garder contact avec certaines personnes (bisous à Flo, la fille à la fée qui fait des flettes et à Claire la mini-tresses)

....suite bientôt ^^

vendredi 12 Novembre 2004:

Je suis la fille qui marche avec les mains dans les poches

je suis la fille qui marche

la fille qui marche sans but, la fille qui marche sans bruit.

Je suis la fille qui marche la tête haute,

je suis la fille qui marche,

la fille qui marche les yeux fermés, la fille qui marche sans penser,

je suis la fille qui marche,

je suis la fille qui marche sans jamais se retourner.

Je suis la fille qui marche,

la fille qui marche seule, la fille qui marche vite,

je suis la fille qui marche le soir au coin de ta rue,

je suis la fille qui marche.

Je suis la fille qui marche dans l'ombre, la fille qui marche

je suis la fille qui marche,

la fille qui marche.

 

 

Lundi 29 Novembre 2004

L'illusion assassine, le rêve est meurtrier. Chaque espoir qui me traverse, me fait souffrir un peu plus que le précédent, lorsque subitement il se dissout. A chaque nouvel échec c'est une blessure dans mon âme, un coup de poignard à la lame aiguisée qui s'enfonce dans ma chair. C'est dans les plus profonds silences que vivent les plus grandes douleurs. C'est dans mes larmes que coulent mes peines.

Je n'ai pas su lui dire à temps ce que je ressentais, je n'ai pas su lui dire que j'aurais pu l'aimer. Il n'a pas vu dans mes yeux la lueur qu'il y fait naître: c'est un amour déçu, c'est un songe perdu.

Un "mec bien" m'a dit qu'écrire l'aider à soulager ses maux....Je tente ici de traduire la colère que j'éprouve contre moi-même. A force d'être passive, je risque de me faire marcher dessus....on ne me reconnaitra plus, on ne se souviendra plus. Qui peut se soucier d'une ombre immobile?

Je voudrais pouvoir avancer plus vite, je voudrais savoir courir mais je n'ai pas encore appris à marcher. Mes pieds se prennent dans le sal tapis de la vie et c'est la chute! Qui m'aidera à me relever? A force d'être déçu, on n'y crois plus, on ne crois plus. Je voudrais espérer qu'un monde meilleur m'attend, je voudrais espérer....Comment fabrique-t'on l'espoir? Où achète-t'on les rêves? Je ne vois autour de moi plus que des êtres qui s'effondrent, alors pourquoi croire en la vie?

On ne sourit plus que par courtoisie. Tout le monde va mal, et moi aussi. Certes, il faut relativiser, je ne crèverai sûrement pas demain....mais j'ai mal. Ce n'est pas un nénuphar qui grandit dans mon coeur comme Boris Vian aurait pu le dire, mais je ne peux ignorer cette douleur qui m'affaiblit.

Il arrivera un jour où je ne souffrirais plus, il arrivera un jour où je ne serais pas déçue, il arrivera un jour où sur mes joues couleront des larmes de bonheur, il arrivera....mais quand?

Je suis lassée d'attendre mon tour dans la file, alors je cherche un moyen de diminuer le côté négatif et j'affiche positif à tout ce qui se fume, se gobbe et se boit....Fume un joint ça ira mieux, fume en deux, tu auras l'air heureux...

J'attend souvent que quelqu'un me prenne la main, mais peut-être que ce dont j'ai besoin c'est de moi-même....la confiance en moi j'en ai pas, j'ai oublié d'apprendre à m'aimer...J'ai oublié que pour compter sur les autres, il faut savoir qui l'on est. J'ai brûlé trop d'étapes, il est trop tard pour recommencer, alors je vais devoir m'y habituer. Vivre avec soi-même quand on ignore qui l'on est, est quelque chose de très difficile, je le sais, je le fais tous les jours...Je me collerai bien une baffe mais je ne suis pas maso...sûrement sado par contre, puisque je me laisse souvent blesser....

Quand viendra donc la délivrance? Et toutes ces belles histoires que l'on raconte dans les livres de petites filles, auris-je un jour le droit d'y goûter? Et même si l'illusion m'assassine et que le rêve est meutrier, je suis assez grande pour choisir l'arme. Même si l'amour fait mal et que l'espoir me blesse, j'aimerai rêver, j'aimerai aimer...

 

Samedi 4 décembre 2004 (hûhû il faut planter le blé )

bon voilà, je voulais juste vous prévenir que je commence mes révisions pour les partiels de Janvier, ce qui signifie:

1)je serais moins présente sur tube (pour les bonheur des uns et le malheur des autres)

2)j'aurais encore plus un caractère de merde, lunatique, aigrie et sans humour (oué ça change pas de d'habitude c ça?! pfffff)

Mercredi 15 Décembre 2004

je la regarde, j'ai froid....j'ai peur.......et si demain elle n'ouvrait plus les yeux, et si demain elle n'était plus? Je le redoute affreusement.....mais qu'est-ce que ça changerait? moi je serais toujours là, mais sans elle....je n'aurais plus ma plume à mes côtés...brindille fragile...elle me fait peur.....ce n'est plus que quelques os habillés d'un peu de peau....elle est malade "pour de vrai" comme disent les enfants....elle souffre. Et j'aurais beau prier tous les saints du monde, c'est elle même qu'elle doit combattre.....seul contre soi, le plus dur des combats.

 

Samedi 8 Janvier 2005

Le combat commence....elle entre dans l'arène. Les médecins sont présents. Dans ce genre de situation, on ne sait jamais où se trouve la fin avant de l'avoir atteinte......1 an au minimum, c'est ce qui a été prévu. 32 kilos...elle doit reprendre 5 kilos avant de pouvoir sortir un week-end. 1m69....de faiblesse, de peur, d'angoisse, de suicide, de malheur, de douleur....1m69 à soigner....1m69 à aimer....à quand la fin? Marion, bats-toi!

J'attends avec impatience notre prochaine soirée..... tes "Pignole" me manquent déjà...... 

Allez, courage!! ce n'est pas encore ton tour de partir.....

 

Jeudi 13 Janvier 2005

 

Air - Playground love (un morceau tout en douceur)

I'm a high school lover, and you're my favorite flavor.

Love is all, all my soul

You're my Playground Love.

Yet my hands are shaking

I feel my bodi remains tense

No matter, I'm on fire.

On the playground, love

You're the piece of gold that flushes all my soul.

Extra time, on the ground

You're my Playground Love

Anytime, anyway

You're my Playground Love.

 

Samedi 15 janvier 2005

Comme dit la chanson, "il y a des couples qui se défont, sur les lames de ton plafond"......on ne voudrait parfois rien voir et rien entendre, mais le son est trop fort, la curiosité trop grande....la phrase, le mot, le ton, la gifle qui part sans crier garde, les pleurs, les reproches......les mots qui s'enchaînent sous le coup de la colère, trop vite.....désordre, précipitation, regret, solitude.....mais moi je ne me dispute qu'avec moi-même....les célibataires sont tous schyzophrènes....

Crache les maux qui te rongent, crache leurs à la figure, ne laisse pas leur bonheur et leur plaisir souiller l'obscurité de tes pensées.

ne sois pas celle que l'on domine, ne soit pas celle que l'on abîme, redresse toi, ne courbe pas l'échine, les maux sont l'illusion, mes mots sont illusoires, mes maux sont dérisoires.

 

Jeudi 20 janvier 2005

je,

tu,

la mort

suite?

soupir

nous

un

deux

trois

...

 

Vendredi 21 Janvier 2005

http://www.uzeste.com

L'Art ! Presque un gros mot. Bizarre. Comme si on ne se sentait pas digne de le prononcer (comme si on nous y avait « éduqués » ?).
L'art ou la conscience du manque de manque (contre le trop-plein).
L'art ou la richesse de l'insatisfaction.
L'art respiration, pré-occupation de l'espace de l'espèce.
L'art ou l'œdipe incarné,
l'art c'est l'autre, l'autrement, le pluriel bien singulier.
L'art ce n'est pas le « bon » sens, c'est dans tous les sens. Contre tous les sens uniques.
L'art c'est le doute, l'esprit critique, le trajet, l'inachevé.
L'art, subversion des vieilles idées reçues déçues.
L'art, esthétique d'avant les formes.
L'art ou l'être individué altérité délibérée délibérément.
L'art, exemple à ne pas suivre.
L'art de se planter. En beauté.
L'art laisse des traces, non des preuves.
L'art, symbole d'imprévisible, d'aléatoire, d'éphémère (ne pas confondre éphémère et effet mémère pépère). Si la prétention à l'art ne suffit évidemment pas, la modestie vraie ou fausse n'y sert à rien. L'humilité oui ! La fierté oui ! Au boulot les pros, les preux (lépreux !?)
L'art c'est quand on sait qu'on ne sait pas, et pourquoi ! C'est quand on sait l'inatteignable (c'est-à-dire exactement ce qu'il reste à faire et à refaire), c'est quand on sait l'indicible cible. L'art c'est l'inconnaissance de soi, l'ignorance de soi (réservoir inépuisableŠ).
L'art désir d'art. Nul besoin ! Quand le désir laisse à désirer, le besoin use à besogner.
L'art ou la carte d'intensité. Il ne s'agit plus de ressemblance ou d'appartenance, encore moins d'étendard. Il s'agit de singularité, de particularité, de personnalité, d'autonomixité, d'indépendance, d'indé-tendance, de responsabilité, de liberté.
L'art c'est quand je me demande, dépasse mes bornes, mes préjugés, présupposés, prémâchés, préculturés. Arithmétique rythmiquement comptant, sonnant, trébuchant, tout s'entend, rien ne s'écoute, on s'en doute, gagner sa goutte, croûte que coûte.

L'art né alarmé à l'armée. Art larme de dissuasion lascive ?

Art de l'improvisation, de l'improvision, de l'interprétation, de l'interpénétration, de la transe-formation, de l'aléatoirisation, de la déconstruction, de la geste-station, de l'inconfortation, de l'innée-jaculation. Art de la composition instantanée mult'immédiate (rien à voir avec un quelconque spontanéisme révélé), art de l'imprévision, de l'invisible imprévisible. Art de l'entremêlement, du décloisonnement, du déraisonnement, de l'inconsentement. Art de la joute, du défi, du trajet, du sujet, de l'objet, du contre-pied, art de l'humour à mort. L'art d'avertir en divertissant, l'art de divertir en avertissant.

Art de la diffusion de l'art. Et non papa, pâté, pathos, patraque, matraque, assourdissant, aveuglant, clientélisant, asservissant. L'art réveille, secoue, énerve, dérange la détresse dépit des bons goûts établis défraîchis. L'art tutoie l'indifférence, l'art s'engage, implique, incite, incline, intente, invente, invite. L'art inconscientilise les vieilles valises balises.

L'art n'en a rien à secouer des « au-dessus de la mêlée ».

L'art est DANS la mêlée (qu'elle s'en rende compte ou pas).

L'art pousse de racines vivantes cultivées et non pas idolâtrées, refoulées, lyophilisées, calcifiées, bocal-localisées à l'étouffé (allez tous faits et refaits).

L'art, c'est comme la liberté, ça n'a pas de prix et pourtant ça coûte, et pourtant ça rapporte.

L'art si ça ne gagne pas ça débarrasse.

Je ne dois rien à tout le monde, je dois tout à personne.

 

Lundi 7 Février 2005

le temps qui passe....

Et oui, déjà 6 mois aujourd'hui que je suis inscrite sur tube....le temps passe vite, l'air de rien^^

J'ai commencé ma vie tubienne en filant mon adresse msn à un DADB de première classe, Loïc (Lemon).....alalalala....qui finalement est aussi quelqu'un d'adorable

Par la suite, j'ai eu la chance inouïe de rencontrer certaines personnes que je considère aujourd'hui comme de bons copains, et même plus pour quelques uns ......fanchy chérie, mag, audrey, nico, aude, flo, clément, alex,julien, romu, wil.....et toutes les autres personnes que j'ai pu rencontrer =) (trop la flemme )

Je n'oublie pas non plus les gens que j'aimerai beaucoup rencontré : benjamin (c'est un mec bien ), julien (le grand blond qui a oublié son pseudo quelque part dans la jungle du web), marc (l'homme belge qui fait des bulles parfum frite et bière)......

quand je repense aux rencontres auxquelles j'ai participé, j'ai pleins de belles images de bonheur dans la tête(oui, je tente d'oublier le tête à tête avec la cuvette des wc de la salle de bain, fanchy chérie)....certaines complicités sont tout à fait exceptionnelles =)

J'vous kiffe les gens

Bref, 6 mois de passé, combien encore à venir?

 

Dernière modification : 15/02/2006 15:18:46


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