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Quelques traits de plumes
Lorsque l'envie et l'inspiration me viennent voila ce qu'elles me donnent.
Lourd fardeau


Un cri, puis un long soupir
Le prince pense qu’il va mourir
A quoi bon continuer
La bataille est terminée

Un cri, puis un long soupir
Plus d’une épée dans son flanc
Fermant les yeux et rêvant
Le prince pense qu’il va mourir

Un cri, puis un long soupir
Allongé las, il s’endort
Le prince pense qu’il va mourir
Le silence est, dort, mort

Le prince pense qu’il va mourir
Déjà connu par la mort
Revient sur terre, en dehors
Un cri, puis un long soupir





Renaissance


Pour renaître de ses cendres il faut du feu
Etincelle divine logée dans ses yeux
A petit feu consommes les âmes des pieux
Flamme magnifique réalise tous les vœux

Pour renaître de ses cendres il faut brûler
Pas une journée sans penser à sa douce fée
Qui sans cesse m’apaise et le me fait rêver
Toujours sans croire avoir déjà autant aimé

Pour renaître de ses cendres il faut mourir
A chaque fois devoir tout quitter et partir
Relâcher se vie et ne plus s’épanouir
Carcasse squelettique laissée dépérir

Pour renaître de ses cendres il faut la vie
Profiter de tout que l’on pleur ou que l’on rit
Toujours améliorer le travail accomplit
Et toujours respecter ennemis et amis.






A ma Muse


Lorsque je pense à ma belle muse, je chante
Elle est pour moi toujours là quand je ne vais pas
Elle peut percevoir en moi ce que je ne vois pas
Princesse unique du seigneur morpheodante

Lorsque je pense a ma belle muse, j’aubade
Toujours la pour moi elle veille sur mon âme
Luttant pour moi contre le mal et l’infâme
Elle ne me porte pas delà les barricades

Lorsque je pense à ma belle muse, j’écris
Ma plume à la main je rêve de son sourire
Par sa douceur de tous mes maux elle me guérit
Chaque mot qu’elle m’envoie me fait aimer la vie

Lorsque je pense à ma belle muse, je vis
Elle me fait oublier tous mes points de phrase
Avec ses yeux plus précieux que la topaze
Bleu comme l’azur même lorsqu’il est minuit





Le vent d’hiver


Le vent d’hiver souffle souffle
Comme un serpent me coupe le souffle
Et c’est sans toi que je reste las
Car c’est sans toi que je ne survis pas

Le vent d’hiver chante chante
Cette mélodie que je rends vivante
Et c’est pour toi que je la compose
En pensant que sur toi mes dix doigts se posent

Le vent d'hiver crie dans mon coeur
Gèle mes veines tellement j'ai peur
Le vent d'hiver brise mes os
Mais dans ma tête je perçois ton écho

Le vent d'hiver ne m’atteint pas
Car mon sang bout quand je pense a toi
Et quand tes yeux se posent sur moi......
...


Le vent d'hiver ne souffle plus
Le vent d'hiver c'est enfin tut
Le vent glacé a échoué
Car loin de toi je ne t'ai pas oublié...





Injustice


Silence ! Qu’entends-je ?
Voilà que l’on pleure, un homme meure.
Pourquoi tant de haine ? Qu’en sais-je ?
Voilà que l’on vient de le tuer !
Si jeune, il ne l’avait pas cherché !
Que faire ? Pourquoi n’y a-t-il plus de tolérance ?
Le monde est en deuil, la ville saigne !
Tant de sang versé. La cause ? Aucune.
Le peuple plaide non coupable.
Silence ! Je me meure.
Pourquoi tant de mépris et de haine ?
Pourquoi moi ?
Deux questions,une seule réponse
Ainsi va le Monde
Chaque vie et chaque mort en est architecte
J'ai apporté trop de pierres
Mais je continue à en porter
Toujours sans compter
Le cercle infernal dans lequel je suis tombé
Marchez avec moi
Je saurai vous dire pourquoi
Ainsi va le Monde
Mais ensemble nous pouvons le changer
En une seule et meme Ronde laissons nous emporter





Lueur d’espérance


J’avance, seul, dans cette rue obscure,
Personne, personne ne passe…
Un mur, un mur noir me bloque.
Noir comme les profondeurs des abysses.
Sombre comme la mort.
Je ne distingue que deux yeux,
Deux yeux tristes qui me fixent
Et qui pleurent.
Ils sont pâles et paisibles.
Deux étoiles dans ce monde de brutes
Deux lueurs d’espérance alors que des guerres éclatent à cette heure.
Je relève mes yeux et je peux lire sur ce mur
« Construire le futur tout en gardant le passé
Vivant sont une et même chose. »
Et c’est alors que le mur s’éclaira et disparut.
Il ne resta plus qu’une petite fille qui m’observait
Et ses yeux ne pleuraient plus…





Sur les plaines


Le vent souffle sur les plaines
Je me tiens droit, mon regard s’étend sur mon domaine.
Au loin, deux monts, deux collines inquiétantes,
Viennent colorer ce paysage de leur mystère.
Leur brume opaque m’empêche de poser mes yeux au-delà.
A mes pieds s’étalent de vastes champs
De tiges dorées qui sont mon trésor.
A cette heure, la bruyère somnole encore.
Et c’est alors, qu’à mon oreille vient se poser une douce mélodie.
Le chant de cette rivière qui sans cesse s’écoule
Le long de cette vallée, me rappelle les instants passés.
Je relève mes yeux, tandis que la vie continue
Et me souviens de ce goût amer
Du temps qui parfois peut séparer deux âmes
Et déchirer des vies.
Le vent souffle toujours
Et la vie telle grain de sable s’envole au loin.





Regrets


Sur la place dépeuplée se trouve une fontaine qui chante
Un peintre assis sur son bord dessine
Mais que dessine-t-il ?
Pendant ce temps, la place tourne et le monde change
Le peintre fasciné, écoute cette voix comme ensorcelé
Mais que dessine-t-il ?
Que d’années perdues à vagabonder seul dans ces rues sombres
Sans aucun autre ami que son fusain, et, toujours à recommencer
Mais que dessine-t-il ?
Rien, le peintre pleure…





Solitude


Seul, abattu, je cherche…
Ma terre, ma patrie, mon océan
J’ai tout perdu. Qu’ai-je fait ?
Ca bouge et ça s’excite tout autour de moi,
Je n’ai jamais compris pourquoi les dieux m’ont épargné
Je ne peux plus marcher, un mur obscur me bloque,
Personne, personne ne viendrait à mon secours,
Je veux quitter cette rue, je veux quitter cet enfer
Et retourner chez moi !
Ah ! Si seulement je n’avais pas été aussi stupide
Je n’aurais jamais perdu ma mère…





Divine Comédie


Perdu dans les ténèbres je te recherche
Vague souvenir qui sans cesse me survit
Au plus profond de moi lorsque je m’assoupis
Grattant dans ma tête cherchant une brèche.

Seul tous les soirs je lis les lignes de mes mains
Deux marteaux qui forgent sans cesse ce monde
Tapant comme un fou sans aucunes ondes
Au purgatoire je pèse le mal et le bien.

Bien vivant devant les portes du paradis
J’attends en ces lieux on m’a dit que tu viendrais
Je m’arrête ici je pense avoir abusé
De ton temps, ta patience et même de ta vie.

L’enfer et le paradis ne sont pas faits pour moi
Je reviens sur terre ma place est avec toi
Je quitte aussi le purgatoire dès aujourd’hui
Pour me présenter devant toi à chaque nuit.





Coucher près de la Lune


Je veux seulement un Sourire de la Lune
Parait-il que sa Lumière fut auparavant
Aussi forte que le Soleil disaient les gens
Ne pouvant passer aucune nuit aucune

Ange Gabriel envoyait depuis le Ciel
En contradiction avec la nuit et le jour
Ni homme ni dieu durant un instant trop court
Partit caresser la Lune avec ses ailes

Comment ce gueux a-t-il pu seulement oser ?
Les Ténèbres je ne connaissais grâce à toi
A présent je ne sais où je pose mes pas
Et moi bâtard je pourrai toujours rêver
Que sur mes lèvres Tu déposeras un soir
Ce doux Baiser qui fera naître en moi l’espoir.





Etre amis


Comment ne peut on aimer tel fou son ami ?
Cet être cher que l’on a un jour rencontré
Qui nous a juré de ne jamais nous quitter
Pas un jour et même au delà de notre vie

Toujours a nos cotés, encore pour essuyer
Avec ses dix doigts, mains douces et chaleureuses
Tendre coup de plume telle une berceuse
Toutes larmes de joie ou de peine versées

Comment ne peut on aimer tel fou son ami ?
Chaque nuit sous les traits mystérieux d’un amant
Chaque nuit aider à s’endormir, en chantant
Cet être qui nous rassure lorsqu’il sourit
Veiller sur lui ; dans un sommeil tel de l’argent
Seuls les regards pourraient trahir nos sentiments.





Pour mon enfant


A tout instant sur terre un Enfant va naître
Il naît dans la douleur, mais fait par amour
Il ne connaît pas son Père, « cherches toujours !»
Et rencontrera les voleurs, les brigands et les traîtres…

Pour la première fois vont s’ouvrir ses Yeux !
Fixes sur le ciel, ils cherchent leur Horizon
Ou peut-être un Ange, ils savent ce qu’ils font
Puissent-ils ainsi les préserver de l’Affreux…

Je ne pleure plus alors je chante pour eux
Paisible Mélodie entendue au passé
Je souhaite que Tu viennes encore la jouer !
Ce que j’ai de plus précieux, je rends vivante
Chanson qui immédiatement me fait taire,
Me rappel qu’un jour j’ai eu une Mère…





Plus de Sens


Savoir faire la part des choses, le Bien, le Mal,
Quand seul dans ma tête j’entends ce Cri strident
Je ne peux m’empêcher de grincer des dents
En voyant son Visage, vierge Fille, pâl.

Savoir faire la part des choses, le Mal, le Bien,
Entouré des meilleurs, Amis ou Ennemis,
Savourer tous les Délices de cette pluie
Que font nos Esprit, nectar à partir de Rien.

Pouvoir faire la part des choses, le Bien, le Mal,
Ouvrir les Yeux, ce que l’on voit est fait de gris,
Et se les ôter, pourquoi pas même l’Ouïe.
Pouvoir faire la part des choses, le Mal, le Bien,
Aller a Mont tant bien que l’on boite en Aval
Se ressourcer quand Morphée nous porte en son Sein.





Rimes en Do


Toujours je compose mes mots avec mes maux
A chaque fois et je crois même que bientôt
Ivre dans mes pensées je vais faire de trop
Sans finir mes phrases je reste tel un sot

Mais phrases trop faciles font de moi un idiot
Les fées se sont attardées devant mon berceau
Mais mieux vaut coup de baguette que de couteau
Sans quoi je n’aurai jamais vu le ciel de si tôt

Jamais je n’aurais eu aussi belle Muse
Qui fait en moi quand je suis devant mon piano
Ressortir en éclat ce que j’ai de plus beau
Toujours face a Toi et sans aucunes ruses
Je Te délivre mes pensées et mes fardeaux
Jamais sortis de mon cœur, ce terrible enclot.





Un et Un


Faisons avec nos deux esprits une osmose
Loin l’un de l’autre sans matière à faire fusion
Laissons nos deux Ames faire telle communion
Sans cesse un partage qui n’aurai de pose.

A ce moment de notre vie en construction
Soyons tous deux artistes qui composent
Que toutes nos phrases soient en vers ou en prose
Mais que nos deux voix soient la plus belle chanson.

Un et Un pas une année pour nous unifier,
Nous sommes deux, pas une somme avons-nous fait
Mais exposant infini ou multiplication.
Rendons à tous les endettés les additions
Sans aucune logique et sans soustractions
J’espère que nos chemins seront sans divisions.





Danse


Par une de ces si calmes soirée d’été
Le ciel revêtit sa belle robe de fête
Noire tel mon Cœur,étoilée comme tes Yeux.
La musique en tête vers toi je suis allé
Assise face à moi,entourée de bêtes
Puis la main dans la main nous n’étions plus que deux.

Notre entourage sombre,fait d’ombres et bruits
Ne pouvait pas a ce moment nous déranger
Car chacun dans le regard de l’autre plongé
Nous tentions de refaire a deux toute une vie.

Tout deux enlacés,marchions vers cet infini
Chaque son pour nous fut comme une mélodie
Sur laquelle l’un contre l’autre nous dansions
Transformant douce soirée en chaude passion.





Les yeux dans les yeux


Tout deux, l’un contre l’autre, les yeux dans les yeux
Inconnus, mais comme si nous nous connaissions
Cherchant alors dans nos regards et sans questions
L’essence même qui nous rendait langoureux.

Tes yeux, tous deux extraordinairement noirs
Deux perles d’Onyx posés sur linge doré
Face aux miens, d’or et de vert ainsi métissés
Rendaient croissant en mon Etre le désespoir.

Au désespoir de te voir partir a la fin
Me laissant alors sans nouvelles et figé
Mon Ame étant toujours dans ton regard plongée
En partant tu me priverais de mon souffle
Je serai insensible aux coups et aux gifles
Mais sur mon corps je sentais encor tes deux mains..





Perdue de Vue


Droit devant la foule immense je me tenais ;
Les deux yeux perchés dans le vide je cherchais
Tout en chantant si un enfant d’elle j’avais ;
Sur toi mon pauvre regard c’est alors posé.

Comme un assoiffé devant une source claire,
Douce fontaine qui tous mes maux guérissait,
Ne pouvant mes lèvres de ta peau retirer,
Oubliant toutes notions d’acide ou d’amer.

Face à toi, tel impuissant je me suis perdu.
Ce divin spectacle m’avait donné la vue.
Malheureusement la chanson fut terminée.
Les cris et les applaudissements m’étaient vains ;
J’étais sur scène mais n’entendais pas la fin,
C’est donc face à toi que je veux me retrouver…





Premier contact


Un seul regard et le plus beau des sourires
Deux émeraudes incrustées dans la porcelaine
Un visage fin et lisse sans trait de peine
Qui pousserait chacun au meilleur et au pire

Tes longs cheveux plus précieux que la toison d’or
Tels sauvages vagues s’échappent sous ma main
A chaque fois qu’ils s’évadent tu prends les miens
Puis tout contre moi tu viens te serrer alors


Ta voix, douce sonate qui au clair de lune
Laisse mon esprit, si vaste champ de dunes
Fleurir sous la fraîcheur de sa claire rosée
Fixé à toi comme le soleil dans les cieux
J’aimerais crier mais je reste silencieux
« Mon cœur s’est mis à battre quand tu m’as touché »





L’incroyable


Sans rien dire tu viens vers moi prendre ma main
Et plus autour n’a d’importance pour moi
Alors qu’a tes je ne me voyais humain
Que pour tuer tu osais salir tes doigts

Plus illusion mais somptueuse vision
Je n’aurai jamais cru que vers moi tu viendrais
Jeune femme, en moi sonnent milles carillons
Lorsque ma peau contre la tienne s’est couchée.


Ton large sourire fait en moi comme une brise
Frémir mon mince squelette et pâlir mes veines
Bien heureux, peut on vivre sans aucunes peines
Je te savais trop courtement sous mon emprise
Futile pensée car a présent je seul je suis
Mais de ne jamais m’oublier tu m’as promis.





Danse a l’unisson


Dans mes bras si radieuse tu étais blottie
Levant les yeux j’aurais quitté le Paradis
Car je dansais avec le plus beau de ses Anges
Parfait et même jusqu'à la moindre phalange

Une force magique nous faisait tourner
Et autour de nous un tourbillon coloré
Un arc-en-ciel qui notre espace fleurissait
De milles et un bruits dissonants accompagné.


Comme deux amants l’un contre l’autre enlacés
Je pouvais les courbes de ton corps deviner
L’un contre l’autre nous étions en communion
Brûlants de tout désir et de passion
Le temps d’une danse, unique comme Union
Dans le regard de l’autre nous nous nourrissions.





Dernier contact


Une folle et festive nuit est terminée
Dans la pénombre je vois tes deux yeux briller
Je me rapproche de toi et te vois pleurer
Bientôt, chacun devra partir de son coté…

Aux bords de tes yeux sont logées petites perles
Soudainement ma nocturne vue se trouble
Le paysage était avant si paisible
Bien qu’avec toi le clame ne soit pas éternel

Grâce aux arts l’Amour est sans frontière
Grâce aux partages, il n’existe plus de barrières

Pour notre dernier moment nous nous unifions
En serrant de plus en plus fort pour ne faire qu’un
Les peurs de s’oublier envahissent nos mains
Nous ne connaitrons ensemble le lendemain.

L’un de nos derniers échanges fut un baiser
Comme un trésor au coin des lèvres déposé
Ce à quoi je ne pouvais croire est arrivé
Sur ma peau tes saintes lèvres se sont posées

Arrachés, déchirés, nous sommes séparés
Désorientés, sans notre autre moitié

Très vite je te rejoins comme attiré par toi
Mais un démoniaque rideau invisible
M’empêche de sentir le parfum de ta peau
Et de me baigner dans ta transparentes vois
Je ne peux qu’admirer ta très triste beauté
Et lire sur tes lèvres un merveilleux credo
Depuis je suis convaincu
Que tout est possible
Lorsque l’on aime et que l’on est en retour aimé.

Nos deux mains face a face contre ce rideau froid
Nous pouvons encor ressentir les battements
Que dans la terrible nuit nos deux cœurs ardents
Provoquent à l’unisson pour la dernière fois

Brusquement fin de la chanson, plus de chaleur
Un terrible poignard ma transpercé le cœur
Tu m’es enlevée si horrible coup de vent
Seul et dans l’obscur je me retrouve a présent.





En Mémoire

En mémoire je te vois, quand tu n’es pas près de moi
En mémoire je te vois quand tu es si loin de moi
Je dois juste fermer les yeux et chauffer ma voix
Attendre le vent et ouvrir ma fenêtre
Entendre ce son qui fait geler mon Etre.

Douce mélodie que tu m’as chantée
Douce mélodie qui me fait rêver
Mais tu n’es pas avec moi

En mémoire je te sens, je te vois, je t’entends
Mais tu n’es plus là pour me dire ce que tu veux de moi.
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