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parole de saez
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A BOUT DE SOUFFLE

Définir des possibles pour défier l'impossible
Et m'exploser le coeur.
J'en ai plus rien à foutre
Repousser les limites et lire ta main
Surfer sur les océans,
Ne jamais toucher le fond
Toujours ces autoroutes,
Nos coeurs en cimetière
Au feu les idéaux, au feu leurs idéaux

-----REFRAIN-----
Sans doute tu seras ma mort, j'espère que tu seras encore...
A bout de souffle
Puisque chaque nuit à son aurore
Puisque Lisa chante encore
A bout de souffle
-------------------------

Tu le sais bien on est vivant, tant qu'on est inconscient
A bout de souffle
Et le dernier des jugements, il peut venir nous on l'attend
A bout de souffle

Rien de sert de penser, immortelle est la plaie
D'éviter le combat
Mais tu connais ça
Atteindre des sommets
Qu'on morde la poussière,
Et croire en des idées
Ooh non, non c'est plus ( ????)

REFRAIN X1

TU le sais bien on est vivant, tant qu'on est inconscient
A bout de souffle
Et le dernier des jugements, il peut venir nous on l'attend
A bout de souffle

REFRAIN X3




A TON MON

On a prié pour toi
On en a dessiné des croix
A Ton Nom
On en a brûlé des livres
On a égorgé des enfants
Juste de quoi tuer le temps
Mais Toi T'as pris différents noms
T'as choisi différents drapeaux
Dis mais pourquoi ?
Moi je me souviens de ma mère
Qui me chantait cette chanson : Allelujah
Allelujah, Inch' Allah

On en a fait toute une histoire
Où Tu redescendais nous voir
Mais t'es pas venu
Nos sanglots pour uniques armes
A combattre pour que nos larmes
Ne soient pas perdues
De siècle en siècle
De jour en nuit
Et d'horreur en miséricorde
On T'a attendu
Mais l'Espoir n'est pas l'Eternel
Et Mon Dieu que la nuit est belle
sur notre plaine perdue

Allelujah... Inch' Allah






AMANDINE

Entre valium et extasy
Mais dis-moi qui va me sauver
Depuis que j'ai perdu Amandine
Moi je sais même plus où aller
Faudrait que j'calme un peu les bars
Faudrait que je speed un peu moins aux novocaïnes
C'est pas que je sois vraiment fétard
C'est juste qu'il me manque
Mon héroïne

Amandine

Même plus envie de me révolter
Même plus envie d'baiser mon chien
Et le monde peut bien cramer
Que ça ne me ferait plus rien
J'ai perdu l'amour de ma vie
J'ai perdu mon ange mon bébé
Mais depuis que t'es plus dans mon lit
J'ai plus que des balles a me tirer

Amandine

Et ce putain de monde peut bien cramer
Et les drogues peuvent bien me faire planer
Jamais je ne crèverai sans TOI






AUTOUR DE MOI LES FOU

Autour de moi les fous font la conversation
Les données du système moi, je n'y comprends rien

A la table des rois on a jeté les dés
Les peuples sous la croix et les femmes au combat

Demain nous verrons bien toujours pire je suppose
Au plus bas du tréfonds de la nature humaine

Naufragés dans la nuit direction la sortie


Nous tentons l'évasion comme on peut au milieu
Des mangas à la con, des crétins animés


L'infantilisation au service des pouvoirs
au gré des élections c'est la prostitution

C'est Connard le Barbare qui gouverne l'étoile,
La faim sur les trottoirs de la Californie

Et la merde qu'on bouffe... au goût de paradis

On s'achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d'éphémère,
Sur l'étoile d'argent le cerveau ou la chair
Faudra choisir un camp L'obscur ou la lumière,
L'obscur ou la lumière... solitaires, solidaires

A l'arrière des cafés Au grés des verres de vin
Dans nos coeurs la beauté
Boit des coups la jeunesse
De dessous les pavés
Tu me passes le joint
Vont les grandes idées,
Dans le feu de l'ivresse
Il y a Martin et Lisa
Qui me disent "on y croit"
Dire qu'on avait des rêves...
Rappelle-toi







FILS DE FRANCE

J'ai vu, les larmes aux yeux, les nouvelles ce matin
20% pour l'horreur, 20% pour la peur
ivres d'inconscience, tous fils de France
Au pays des Lumières, amnésie suicidaire

Non, non, non, non, non...

Nous sommes, nous sommes la nation des droits de l'homme
Nous sommes, nous sommes la nation de la tolérance
Nous sommes, nous sommes la nation des Lumières
Nous sommes, nous sommes à l'heure de la résistance

Pour les rêves qu'on a fait,
pour ceux qu'on fera
Pour le poing qu'on a levé,
pour celui qu'on lèvera
Pour un idéal,
pour une utopie
Allons, marchons ensemble
enfants de la patrie

Fils de France
ça pour baisser la tête, ah oui ça t'aime bien les minutes de silence
Fils de France
c'était à peine hier et déjà tu brandis le drapeau de l'ignorance
Fils de France
nous n'oublierons jamais que nous sommes,et serons les fils de la résistance
Fils de France
au royaume des aveugles, tu sais bien ce qu'on dit, les borgnes sont les rois

Y'a ces ombres derrière nous
Y'a ces idées vendues
Y'a ces drapeaux qui flottent
Et ces hymnes dessus
Et puis y'a toi mon frère
Oui toi qui n'y crois plus
Et puis y'a nos prières
Et nos causes perdues

Honte à notre pays
Honte à notre patrie
Honte à nous la jeunesse
Honte à la tyrannie
Honte à notre pays
Revoilà l'ennemi
Allons, marchons ensemble
Enfants de la patrie

Nous sommes, nous sommes la nation des droits de l'homme
Nous sommes, nous sommes la nation des différences
Nous sommes, nous sommes la nation des Lumières
Nous sommes, nous somme à l'heure de la résistance

Nous sommes, nous sommes la nation des droits de l'homme
Nous sommes, nous sommes la nation des différences
Nous sommes, nous sommes la nation des Lumières
Nous sommes, nous sommes à l'heure de la résistance






BLEU BLANC SANG

Y'a les hommes qui font les guerres
Y'a les hommes qui font les enfants
Y'a les hommes qui font les prières
et puis y'a les gouvernements

Y'a les hommes qui font la lumière
Et puis il y a les moutons blancs
et puis y'a les con-testataires
Et puis y'a les collaborants

Imagine un peu ce que l'on pourrait faire
A chanter la même chanson
Putin on est quand même des frères
Marchons vers le même horizon

Y'a mon pays c'est la misère
Et y'a ce drapeau bleu blanc sang
Mais c'est quand même la misère
Que je sois rouge, que je sois blanc
Et moi je sais pas faire les guerres
Et je sais pas faire les enfants
Mais ce que je sais c'est que je suis ton frère
Et que c'est être, qu'être diffèrent.

Imagine un peu ce que l'on pourrait faire
A chanter la même chanson
Putin on est quand même des frères
Marchons vers le même horizon







CELESTE

Du céleste s’éteint ma bouche
Aller vers toi !
Du parfum le désir que j’aime.
T’étais là,
Seule au bord du ravin, tu me dis
« On y va ? »
Toi contre moi,
Moi contre toi.

Dans la boîte d’ennui
C’est la soif qui a…
Faim dans le ventre grandit,
S’envisagent les seins ;
Dans le cri de la nuit
Qui nous détruira, je n’ai peur de rien,
Quand tu es là,
Moi je ne crains,

Rien que toi, rien que moi
Faits de fièvre et d’envie
Dans la suie on se noie
Assoiffés d’interdits ;
Rien que toi rien que moi
Au sein de l’incendie
Je t’invite au combat et toi,
Tu me dis oui,
Allez viens…

Sur la piste décollent
Les chevaux enragés.
S’emballent et puis se collent
Les lèvres empoisonnées.
S’unissent les venins
Et nous ne faisons qu’un.
Vérité du sacré
Tu me donnes la clef.

Rien que toi, rien que moi
Faits de fièvre et d’ennui
Dans la suie on se noie
Assoiffés d’interdits ;
Rien que toi, rien que moi
Au sein de l’incendie
Je t’invite au combat
Et toi tu me dis oui
Allez viens…

À l’amour à la mort
Toi tu cherches le jour
À l’amour à la mort
Couteaux dans le velours

À l’anarchie des corps
Tu t’élèves et tu brûles
Tu gémis au secours
À la mort, à l’amour
À l’amour, à la mort
Toi tu cherches le jour
À l’amour à la mort
Couteaux dans le velours
À l’anarchie des corps
Tu t’élèves et tu brûles
Tu souris et tu cours
À la mort à l’Amour







CLANDESTIN

Dans la chambre sans bruit
Le nuit nous faisons route.
Amoureux solitaires
Sans regarder derrière.
Nous fuyons tous les deux,
Tu me fis qu'on est fou;
Alliés,là dans l'ombre
Tu éclaires
Dans les draps de satin soir
Etaient nos nuis blaches.
Toi, tu m'ouvrais la voie,
Moi, je cambrais les hanches.
Au brûlant de la peau,
Au puissant des parfums
De la sueur et de l'autre
Comme deux sans abris
Au milieu de l'orage
Sous les coups, sous la pluie
Nous joingnons nos visages
Au-delà des réels
Mon amour avec toi,
Allez viens on s'arrache,
Allez viens on se crache!
Evadés, Clandestins Allez viens...
Allez, envoie le corps, au défi de l'hardcore
Aller envoie tes rêves aller envoie tes lunes
Allez crame mon âme qui nous brûle passion que nous
Mène l'union aux hallucinations,
Que la peur dans tes yeux fasse monter l'acide jusqu'au bord
De tes lèvres aussi noires que la nuit qui nous emmène
Au large sur des terres sacrées où l'on aime à saigner,
Où l'on aime à s'aimer.
Que l'on meure maintenant dans ce lit, fugitifs,
Accrochés à nous-mêmes, perdus dans le récif;
Que s'arrête le temps! Que continue l'instant!
Et que s'ouvre l'abysse devant toi mon amour
Aller délivre moi du plaisir qui nous ronge
Allez libère toi au violent de nos songes
Allez, transe avec moi sans jamais t'arrêter,
tout nue sous l'orage, je veux te voir pleurer
Hors de moi!
S'évader Clandestins, Dérapés





CREPUSCUL

Dans la mélancolie je me noie en enfer
Et la fumée de ma cigarette grimpe dans l'air
Les murs de la chambre
Oh crépuscule
Mais qui nous sauvera ?

La fumée se forme en escalier
A toi de decendre
Allez viens dans mes bras
Allez viens dans mon bras

Pourrait ce nirvana
Ne jamais s'éteindre ?
Mais qui nous sauvera ?

Et puis depuis le plafond
La douce musique m'appelle
On plane sur un air d'amour
Et je peux plus dire non
Alors je sors mon amour pour toi

Encore et encore...

Les cigarettes me brûlent
Et y'a plus d'ange ici
Et ça fait saigner mon coeur
Et ça fait saigner mon âme

Mais je peux plus dormir
Chaque nuit sans toi
Y'a plus qu'à mourir
dans tes bras

Les cigarettes me brûlent
Et y'a plus d'ange ici
Et ça fait saigner mon coeur
Et ça fait saigner mon âme

Mais je peux plus dormir
Chaque nuit sans toi
Y'a plus qu'à mourir dans tes bras






DAN LE BLEU DE LABSINTE

Dans les économique,
Dans la métaphysiques,
Dans les trop vieux combats,
Je m'en sortirai pas.
Au gré des connections,
Les millions, les questions.
Dans la meute aux médias
Je m'en sortirai pas.
Entre l'aube et la fin
Dans l'antre de ta main
Dans les jeux de l'étreinte
Dans les maux les complaintes
Dans la contestation,
Les fausses rebellions,
Dans le faux, dans le vrai,
Dans la sécurité
Ne me laisse pas
Au milieu de la pièce,
Théâtre de l'absurde,
Les comment dis pourquoi
On s'en sortira pas?
Dans la beauté du mal
Dans la beauté du sale
Sous les voiles ou les croix
On en sortira pas.

Dans le noir du venin
Ce qu'on est ce qu'on feint,
Dans le bleu de l'absinthe,
Chez les putes chez les saintes,
On se donne on se perd
A passer des frontières a trainer sous l'orage
Un jour vient le naufrage;
Entre l'or et la faim
Accroché à ton sein
Dans le feu de l'étreinte
De nos corps qui s'esquintent
Dans les constellations,
Les sodominations,
Dans le faux dans le vrai
Dans le brut dans l'abstrait
Ne me laisse pas
A la lisière de nos rêves
M'éteindre entre tes lèvres
sous les voiles ou les croix
Au coeur de l'attentat...

Au vent des connections
T'as vu comme on se vend!
Par les quatre horizons
T'as vu coimme on nous prend!
Dans le faux, dans le vrai,
Dis-moi qu'est-ce que tu crois?
Dans le brut de l'abstrait
Dis-moi quelle est la voie?








DEBBIE

Aux lumières de la ville des visages sans noms,
Nous tentons un exil, dis-moi quel horizon,
Au milieu des soirées des rêves et des branleurs,
Ecorchés, déchirés

Aux lumières de la ville,des visages sans noms
Au milieu des vipères, et combats de scorpions
Au feu dans les quartiers, ya des rêves au casseurs
Ecorchés, déchirés

Allez danse Debbie toute nue dans les bars
Allez chante Charly au gré des gyrophares
Allez chante l'ami, allez danse la vie, elle est transe la nuit ... avec toi ...

Aux lumières de la ville, déchu de ton regard
Allez danse poupée au feu sur les comptoirs
Défoncés, déchirés

Aux anges de mes nuits sans dessous les étoiles
Enfant du paradis, recherche une escale,
Défoncés, déchirés

Allez danse Debbie toute nue dans les bars
Allez chante Charly au gré des gyrophares
Allez chante l'ami, allez danse la vie, allez transe la nuit...
Allez danse Debbie, n'aies pas peur de mourir
Tu nous allumes encore, ton sourire en saphir
Jusqu'au bout de la face, au plaisir de la chair
Allez viens. allez viens. allez viens...

Dans le lot de la nuit, allez brûle la vie
La vie comme un éclair, au plaisir de la chair
De plaisirs en plaisirs, j'ai la soif de vivre
Et la fièvre qui monte, et puis toi...
Et puis toi qui m'enivre, qui m'enivre
Allez danse Debbie toute nue dans les bars
Allez chante Charly au vent des gyrophares
Allez chante l'ami, allez chante la vie, allez transe la nuit
Allez danse Debbie n'aies pas peur de mourir
Tu nous allumes encore ton sourire en saphir
Jusqu'au bout de la face, au plaisir de la chair
Allez viens. allez viens. allez viens...








DEFONCE DEFONCE MOI

J'y peux rien tu m'allumes
Rien qu'à me regarder
Ca m'excite ça me défonce rien
Qu'à te voir danser à mes genoux
Comme un ange en danger
Tu me le fais ça me le fait
De te savoir pareil
Écorché déchiré jusqu'à n'en plus savoir
A n'avoir jamais su
Qui je suis où je vais
Je sais plus si c'est toi ou si c'est moi
Qui suce et qui me tire
En jurant que tu vas me bourrer
Écorché déchiré écartelé {x2}

Défoncé défonce moi, moi sans dessous dessus
Déchiré déchire moi, moi sans dessous dessus
Attends moi tu vas voir ce que tu fais de moi
Tu es beau quand tu jouis
C'est moi qui m'extasie
Tu es beau quand tu m'obéis

Nous plaire nous déplaire, nous faire et nous refaire
Nous plaire nous déplaire, le faire et le refaire
Allez suce mon amour
Défoncé défonce moi, moi sans dessous dessus
Déchiré déchire moi, moi sans dessous dessus
Que l'on brûle en enfer






A TRAVER LES NEON


En travers les néons,
Dans la mégacité
Aux merveilles,
Tu traces ton dessein
Petit bout d'évasion
Comme un feu au milieu
De la mer, tu éclaires
Une destination

Tu ressembles à ce rêve,
Que j'ai fait autrefois,
Que j'ai fait tant de fois,
Que j'ai fait avec toi !
Dis, on le refera ?
Dis, on le refera ?
Allez dis-le, qu'on le refera !

Les yeux comme des perles au noir des mers de Chine,
Oh merveille, tu me donnes la main
Petit bout de beauté,
Poésie incarnée,
Prisonnier de tes reins, que c'est bon !
Quand tu me tiens tu ressembles à l'amour que j'ai fait autrefois,
Que j'ai fait tant de fois,
Que j'ai fait avec toi
Dis, on le refera ?
Dis, on le refera ?
Allez ! Jure et susurre qu'on le refera

Tu ignores le vide devant toi
Les vertiges et la peur,
Tu connais pas

Perdue dans les soirées,
Seule au milieu des loups
Tu t'enfonces
Au bord des précipices
Tu cherches les réponses
Aux abîmes de feu
De la cime tes yeux
À mon âme s'unissent
Tu ressembles au naufrage que j'ai fait autrefois,
Que j'ai fait trop de fois
Que j'ai fait avec toi

Dis, on le refera ?
Dis, on le refera ?
Allez jure, allez crache
Qu'on le refera !

Tu ignores le vide devant toi !
Les vertiges et la peur
Tu connais pas
Tu ignores le vide devant toi !
Les vertiges et la peur
Tu connais pas

Eveillée, dans la cité perdue,
Au travers de la nuit toi tu vois bien,
Toi tu vois bien en travers la douleur et la mélancolie,
Tout ira bien,
Tout ira bien

Dans la cité perdue,
Au travers de la nuit
Toi tu vois bien,
Toi tu vois bien
En travers la douleur
Et la mélancolie
Tout ira bien,
Tout ira bien






FRERE

Frère
Frère de sang, frère de nation
Frère de rien, frère de putain
Juste des frères
Frère
Mais dis-moi que je ne suis plus seul
Au milieu de milliard de moi
De milliard de toi
Puisqu'on est déjà mort
Puisqu'on est déjà mort
Puisqu'on en veut encore
Chaque jour un peu plus
Frère
Frère de sang, frère d'horizon
Frère de rien, frère de chemin
Juste des frères
Frère
Mais dis-moi que je ne suis plus seul
Au milieu de milliard de moi
De milliard de toi...







HALLELHULA


Maman m'a levé ce matin
Ou c'était peut-être demain
Je ne sais plus vraiment
La nuit s'allume doucement
Et mes yeux s'ouvrent lentement
Comme deux bougies dans le vent
Chevauchant mon vélo volant
A toute allure je tue le temps

Hallelujah

Si seulement c'était réel
J'verrais combien la vie est belle
Si je sortais du lit
Et je suivrais les hirondelles
Loin de cette chambre d'hô^tel
Où je finis ma vie







IL Y A TEN SOURRIRE

Il y a ton sourire qui se lève
C'est comme une lueur d'espoir
Il y a l'ombre et la lumière
Au milieu notre trajectoire
IL fallait choisir une route
Alors on a choisi la pluie
Acide à s'en bruler le coeur
Pourvu que planent les esprits
Il y a tes yeux qui me tuent
Quand tu me dis que c'est fini
Il y a le vent de nos sanglots
Qui souffle pour une amnistie
Mais rien n'arretera la lutte
Rien ne séchera cette pluie
Rien ne finira la chute
Rien ne finit l'infini

Rien ne desserrera nos mains
Rien n'éteindra l'éphémère
Nos forces, nos forces seront nos destins
puis nous perceront les mystères
Il y a les lois de l'empire
Et les trous noirs dans ma mémoire
Il y a le meilleur et puis le pire
Au milieu de notre trajectoire
Combien tu vends ta liberté,
Dis combien tu vends ta poésie
Moi j'ai même vendu mon âme au diable pour ton sourire
Puisque tout est aléatoire dans le chao des univers
Et puisque insoluble est la réponse et puisque déjà me manque l'air
Et qu'importe les directions jusqu'au delà de la limite
Tous les chemins ménent à tes yeux
Tous les chemins mènent à la fuite

Rien ne desserre nos mains
Rien n'éteindra l'éphémère
Nous forcerons nos destins
Nous perceront les mystères
Rien ne desserrera ces poings
L'univers, l'univers... nous retrouverons nos chemins
Nos idées puis l'univers

Il y a ton sourire qui se lève
Il y a l'ombre et la lumière
Au milieu de notre trajectoire
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi la pluie
Acide à s'en bruler le coeur
Pourvu que planent les esprits







JVEU DU NUCLEAIRE


Enfant d'une génération ratée
Qui pensait qu'à rêver
De drapeaux blancs
Moi j' veux du nucléaire
J'veux du sexe et du sang
Des bombes dans le RER
M ême si je ne suis qu'un enfant

Enfant d'une génération ratée
Vautré devant la télé
On se branle devant les bombardement
Mon dieu que c excitant
Moi j' veux du nucléaire
J' veux du sexe et du sang
Des bombes dans le RER
Même si je ne suis qu'un enfant

Sous les ruines d'un monde
On se souvient Masoud
Et les rêves qu'on a fait
D'amour et de paix

God bless america
God blesse america

Sous les ruines d'un dieu
On se souvient Masoud
Et les rêves de liberté
D'amour et de paix

God bless america
God blesse america

Ouvrir les yeux sur le capitalisme
Le bonheur idéal
Et tout le sang versé
Des milliards de pauvres
Des milliards d'humains
Mais des milliards d'humains
Ca vaut pas un dollar

Ouvrir les yeux
Sur ce pauvre bon dieu
Qui a rien demandé
Et qui sait plus son nom
Tellement qu'il est perdu
Au milieu des horreurs
que commettent ses fils
Au nom de l'ignorance

Ouvrir les yeux sur l'univers entier
Ouvrir les yeux et les fermer enfin
Ouvrir les yeux et puis quitter ce monde
Pour un meilleur demain

Moi j' veux du nucléaire
Du sexe et du sang
Des bombes dans le RER
M ême si je ne suis qu'un enfant

God bless america
God blesse america








JVEU MEN ALLER


Encore une nouvelle rentrée
Encore peupler ce putain de lycée
Encore trainer les rues et les café
Encore fumer ma clope à la récré
Encore se taire ou bien se révolter
Et saluer mes frères apprivoisés
Encore attendre encore apprendre
Mais y'a rien a comprendre
Mais y'a rien à comprendre
Mais y'a rien à comprendre

J'veux m'en aller
J'veux m'en aller
Mais je veux pas crever
Dans cette inhumanité

Encore mes frères qui meurent de l'autre côté
Les fils de la lumière assassinée
Et moi qui rêve juste de rêver
Juste de quoi rêver encore
Juste de quoi rêver encore
Juste de quoi rêver encore

J'veux m'en aller
J'veux m'en aller
Mais je veux pas crever
Dans cette inhumanité

Mais y'a plus d'étoiles dans le ciel
Mais y'a plus d'étoile
Mais y'a plus
Mais







JVEU KON BAISE SUR MA TOMBE


A la lumière obscure,
Je te croise enfin, mon dieu, que tu es belle
Toi la seule, toi l'ultime
Entre les hommes, égalité

S'il te plaît, prend ma main, ne te fais plus attendre
Il est temps de s'étreindre, il est temps de s'éteindre
Une dernière cigarette
Les guerriers de la route avaient pourtant prédit
La mort ou la naissance
Ca dépend du coeur

Au soleil qui s'incline, allez finissons-en
Et laissons s'accomplir le firmament
Plongés dans l'infini, dans le gouffre sacré
Katagena
Me noyer à jamais
Puis quitter ce monde sans pudeur ni morale
J'veux qu'on baise sur ma tombe
J'veux qu'on baise sur ma tombe

Que la grâce s'accomplisse, immortelle jouissance
Que les femmes s'unissent dans un parfait accord
Rien que pour un instant
L'éphémère devienne
Eternité

J'aurais aimé t'aimer comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau et que c'est beau d'aimer
J'aurais aimé t'écrire le plus beau des poèmes
Et construire un empire juste pour ton sourire
Devenir le soleil pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel pour un futur plus beau

Mais c'est plus fort que moi,
Tu vois, je n'y peux rien
Ce monde n'est pas pour moi, ce monde n'est pas le mien...

Au revoir mes amis,
Au revoir mes frères,
Au revoir mon pays,
A nous deux, la lumière
Au revoir Francky,
Au revoir les printemps,
Au revoir pauvre monde,
A nous deux, Satan

Au revoir mes amis,
Au revoir mes frères,
Au revoir mon pays,
A nous deux, la lumière,
Au revoir mon père,
Au revoir...
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